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Sur le site

Château Stanislas Désandrouin

Une demeure née de la richesse minière

Stanislas Désandrouin est issu d’une lignée intimement liée à l’histoire du charbon dans le Nord. Petit-fils de Jacques Désandrouin, l’un des premiers découvreurs de charbon et cofondateur de la Compagnie des Mines d’Anzin, il hérite d’un nom synonyme d’audace industrielle et de prospérité.

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Le château en 2005


👉 À lire sur APPHIM : Jacques Désandrouin – mineurdefond.fr

 

Le château en 2024

Un château à l’élégance néoclassique

Le bâtiment adopte un style néoclassique sobre et massif, de forme cubique, caractéristique des demeures de prestige du XVIII siècle. Mais au-delà des murs, c’est le parc qui témoigne le plus ouvertement de la fortune de Stanislas Désandrouin.

Le domaine fut aménagé à la manière des jardins de plaisance :

  • Volière,
  • Pavillon de chasse,
  • Ponts et canaux,
  • Île artificielle, autant d’éléments destinés à impressionner les invités et à évoquer un paysage d’apparat, reflet du raffinement aristocratique.

·         Le Temple de l’Amour, symbole d’une époque

·         Au cœur du parc, sur l’île artificielle, s’élève encore aujourd’hui le Temple de l’Amour, une fabrique ornementale typique du XVIII siècle.
Install
é au milieu de leau, ce petit édifice élégant était un lieu de contemplation et de promenade, rappelant les jardins anglo-chinois et le goût pour les architectures sentimentales.

Le temple de l'amour en 2024

·         Bien que déplacé au fil du temps, il demeure l’un des emblèmes du site, témoin silencieux de l’âge d’or des grandes familles minières.

Un héritage minier devenu patrimoine

Après la mort de Stanislas Désandrouin, le domaine changea plusieurs fois de propriétaires. Le château finit par être acquis au XX siècle par la commune de Fresnes-sur-Escaut. Aujourdhui, il fait partie intégrante du patrimoine du Bassin Minier, inscrit à l’UNESCO depuis 2012.

Le château et son parc rappellent que l’histoire de la mine ne se résume pas aux fosses et aux corons : elle est aussi celle des familles fondatrices, des fortunes bâties sur le charbon, et des traces architecturales qu’elles ont laissées dans nos paysages.

 

Ce château fait partie des 353 sites du Bassin Minier Nord-Pas de Calais inscrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 2012.

 

Sources : Mission Bassin minier-APPHIM

Jean-Louis HUOT pour l’APPHIM

Editorial

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